Société

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Par IINA. Le gouvernement ivoirien a dénoncé les accords de siège de deux institutions internationales pour des affaires qui «les discréditent et contreviennent» aux règles établies selon un communiqué de presse du ministère des Affaires étrangères.
La première dénonciation concerne « l’accord de siège  signé entre le gouvernement de Côte d’Ivoire et l’organisation Mondiale pour l’économie et la technologie (OMET) ».

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On peut y penser si l’on s’en tient à ce qui s’est passé le vendredi, 24 mars 2017 sur le site querellé. Une commission d’expert sous une escorte des forces de l’ordre est descendue sur le terrain. Il s’est agi, d’après le représentant des familles propriétaires du site et leur conseil, de procéder à une contre-expertise des mises en valeur des terrains effectuées par les différents acquéreurs à savoir les constructions  et autres maisons déjà habitées sur les lieux. Les familles disent prendre toutes les dispositions pour une bonne séparation avec les différents acheteurs et même ceux qui ont investi sur le terrain. La raison évoquée, le site va  désormais abriter « un grand projet » dont les contours n’ont pas été tout de même dévoilés à la presse. Tout le monde sera remboursé ont clamé les avocats du cabinet Abou & Associé et Jean pierre Ndongo, représentant de la famille lors de cette descente sur le terrain.

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L'unité opérationnelle de la lutte contre le désordre urbain est descendue dans l'arrondissement de Douala 1er pour libérer les emprises occupées par les opérateurs du secteur informel. Un coup d'épée dans  l'eau. Malgré la violence et la barbarie de cette unité, qui a brillé par des casses sauvages, la destruction des étales de fortune   et des voies de faite caractérisées par la violation de l'espace privé de certains boutiques et commerces par des accès avec effraction à la recherche des marchandises des vendeurs et colis des autres réparateurs qui occupent les emprises publiques, rien n’a changé sur le terrain.