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Aux premières lueurs de l'aube, les pèlerins ont pris la route des Jamarats pour la 2ème journée consécutive afin de lapider les trois stèles représentant Satan le maudit, contrairement à la 1ère journée où seule la grande stèle avait occupé leur attention.
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Elle fait certainement partie de ceux qui se lèvent tôt dans la capitale camerounaise. A 4h et demi, voire 5 h au plus tard, maman Chantal, comme ses nombreux clients et les autres vendeurs du marché Etourdi l’appellent affectueusement, est déjà dans ce marché, non loin de la présidence de la République à Yaoundé. Elle a construit sa réputation autour des feuilles qu’elle vend depuis plusieurs années. Cela dure depuis 10 ans. Que ce soit le Ndolé, le « Kock », le « kwem » ou les feuilles de manioc, le « Zom » et bien d’autres feuilles vertes que les ménagères aiment pour leur famille, Maman Chantal est une spécialiste. Une simple absence pour quelques heures ou jours met certaines femmes en difficultés car, elle compte par milliers, des clientes devenues fidèles à elle.
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Entre 50 000 et 250 000 FCFA, voire même plus, le prix d’un mouton à Yaoundé, en ces temps difficile sur le continent africain, cela semble être de portée de bourse. C’est vrai, mais cela n’a refroidit l’atmosphère dans les marchés du bétail, plus précisément celui des moutons. Au fur et à mesure que les jours avancent, une ambiance électrique s’installe dans ces marchés. L’exemple dans les marches de Yaoundé, plus précisément celui de Mbankolo avec son parc à bétails. Les gens montent et descendent, au milieu des bêlements d’animaux. Le secteur grouille du monde. Ceux qui sont d’abord venus se renseigner sur le prix, ceux qui veulent acheter immédiatement, les curieux et la longue chaîne d’intervenants de cette filière qui atteint toujours son plus niveau dans le sillage des préparatifs de la fête du sacrifice ou la fête de l'Eid. Le mouton en cette période est devenu l’animal de toutes les attractions.
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Dans un pays où le taux de chômage s'accroît de jour en jour, l'auto-emploi reste la solution idoine pour s'épanouir. Diplômés ou non, beaucoup de camerounais se sont plongés dans le secteur informel pour survivre. C’est le cas de ces jeunes qui portent affectueusement le nom des '' écraseurs '' au marché de Mfoundi, l’un des grands marchés de la capitale Yaoundé
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