« INTERMEDIA », le réseau des communicateurs indépendants de l’audiovisuel a décerné un diplôme de communicateur social à MBOMBOG MBOG MATIP Emmanuel pour son engagement à lutter contre les abus vis-à-vis des démunis. Cela s'est passé en direct sur Voice Radio, 103.0 FM radio émettant à Yaoundé devant un parterre très important composé de ses fans, femmes et hommes de media.
Engagé dans la lutte contre les injustices sociales depuis plus d’une décennie, le patriarche MBOMBOG MBOG Matip Emmanuel a vu ses efforts récompensés à travers la réception de ce diplôme des mains du non moins célèbre Bernard NGWA AYOLO alias BILLY Show, président directeur général d’INTERMEDIA et coordonnateur national du « CARTEL », Cercle des Animateurs Radio et Télé. En bon autodidacte, le patriarche s’était donné pour mission de lutter à sa manière pour la cause des démunis de la société. Son verbe lui a efficacement servi d’arme de combat jusqu’à lui concéder depuis quelques années, le poste de président de la Ligue Nationale des Personnes Défavorisées (LINAPDEF). Sous cette casquette, il a fait siens, les problèmes qui touchent les personnes vulnérables de la société et s’est donné pour objectif de les dénoncer au grand jour. Entre télévisions, presses écrites et cybernétiques en passant par les radios, MBOMBOG MBOG MATIP ne laisse aucune plateforme pour exercer ce qui semble lui avoir été prédestiné par le très haut.
Passé parfois par des censures, ce fervent défenseur de la cause humaine n’a jamais abdiqué dans sa lutte. Par ses interventions médiatiques, il est devenu l’ami intime des transporteurs camerounais, commerçants, étudiants et handicapés, bref des défavorisés sociaux. Ils lui ont par ailleurs témoigné leur affection pendant l’émission qu’ils ont rehaussé de par leur présence et témoignages en directs. Cet homme qui ne cache point son avis, lutte contre vents et marrées pour contribuer à la prospérité de la nation. Et c’est cette vision qui justifie le soutien indéfectible qu’il porte à l’endroit du chef de l’Etat camerounais.
La reconnaissance qu’il a reçue lui permettra de multiplier des initiatives afin de demeurer "cette voix des sans voix" qu’il a toujours incarné. Il a d’ailleurs à cet effet affirmé que « c’est maintenant que commence le véritable combat ». Ce « maintenant » est d’autant plus actuel qu’il lui donne désormais le quitus d’agir en toute légalité pour relever les défis actuels de la société camerounaise telles que la mal gouvernance, le favoritisme, le tribalisme, l’insécurité et bien d’autres. Comme lui-même, s’est prêté à le dire, il aura certainement besoin du soutien divin car cette lutte qui est sienne, est tout de même difficile.
Raïssa NKEN