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C'est une volonté commune du gouvernement et de ses partenaires. Dans le pays, le taux de mortalité maternelle est très élevé. L' atelier de revue technique cartographie des interventions et des financements tenu le 14 décembre 2017 à Yaoundé, avait pour objet '' de coordonner les efforts des partenaires et gouvernement camerounais pour avoir un impact sur le terrain pour baisser cette mortalité '' explique l'inspecteur général des services du ministère camerounais de la santé publique, Maina Djoulde Emmanuel. 

Au cours de l'assise, le ministère de la santé publique et ses principaux partenaires avouent que la distribution de leurs interventions a connu une évolution à travers le territoire national en matière de la santé de la mère, de l'enfant et de l'adolescent. Pour cela, il faut asseoir les moyens financiers pour soutenir ces problématiques. D'après l'inspecteur général, '' les engagements financiers ont été pris par l'Etat et ses partenaires (...) mais qu'à l'exécution, il y'a toujours des difficultés au niveau de mobilisation optimale des ressources et pour cela, il existe aujourd'hui plus que par le passé, un engagement " à affiner et à améliorer ces exercices qui va devenir annuel '' indique-t-il. 

Selon la coordonnatrice national du GIZ, Dr Ruth Schumacher, l'heure est grave. ''On peut dire que toutes les cinq minutes au Cameroun, une femme meurt de cause évitable avant, après ou au cours d'un accouchement ''. Pour elle, c'est un atelier d'harmonisation des efforts, de recherche des synergies et d'alignement vis à vis de la stratégie nationale de la lutte contre la mortalité maternelle. Tout compte fait, les résultats attendus sont d'identifier et de répertorier l'ensemble des partenaires qui interviennent sur cette problématique qui est une priorité du gouvernement et le niveau de l'engagement financier des différents partenaires. 

A. N. 

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